Ce site a été conçu pour faciliter une réflexion sur notre nature, entendu que cette «nature» est différente pour chacun. C'est grâce à l'astrologie que j'ai pu, finalement, «admettre» que les êtres humains fussent aussi différents les uns des autres, ce qui m'a permis, au fur et à mesure, de ne plus recourir au «jugement de valeur» pour évaluer les personnes que je rencontrais. Comme je le mentionne en passant dans «guérir par l'éveil», j'ai continué l'astrologie parce que le système fonctionnait, mais j'avoue avoir voulu l'abandonner faute de l'explication rationnelle qui rendait compte de sa validité. En puisant des informations à droite et à gauche, j'ai fini par comprendre que le réel n'était pas fait pour le mental, et que sur des aspects fondamentaux de la réalité, nos investigations intellectuelles restaient parfois sans effet, ou ne rendaient compte que des aspects extérieurs des phénomènes. L'on peut donc comprendre d'une autre manière, dite intuitive, en traversant la surface du raisonnement «explicatif», pour toucher les choses directement par l'intelligence, au-delà des représentations, et voir en quoi elles nous concernent. Ce procédé reste mystérieux, et bien que la culture matérialiste ait essayé de l'éradiquer, il revient en force aujourd'hui, parce que la Conscience est supérieure au mental, qui n'est qu'un processus d'organisation des perceptions, et rien d'autre, tandis que l'intelligence, elle, n'a pas de limites, et qu'elle est à l'œuvre dans toutes les dynamiques de la matière soumise au processus de la vie.
Le thème natal représente donc la manière dont la nature agit en nous, avec une foncière indépendance, puisqu'elle sert des intérêts immédiats, la survie, la protection, la défense du moi matériel dans son corps physique. Mais comme la nature est elle-même formée par l'Intelligence, en remontant son action, il est possible de comprendre l'esprit des planètes à différents niveaux de leur œuvre, ce qui nous permet d'agir dessus. Si la notion de libre arbitre a pu s'imposer dans la culture et la philosophie, c'est bien parce qu'il existe une marge de manœuvre, un jeu possible, entre les différentes forces qui nous conditionnent, avec ce mystère hilarant ou horrible du «choix», qui constitue la base de notre fonctionnement mental. Je rappelle à ceux que l'évidence dérange, que le choix est permanent, entre la pizza et le hamburger, le caviar et les œufs de lump, la télé et le cinéma, le foot et le rugby.
Pire, le oui contrarie le non et vice versa, ce qui n'est absolument pas pratique, puisqu'on voudrait souvent cumuler les avantages de l'affirmation et de la négation, s'engager, mais pas trop loin, par exemple dans une aventure sentimentale ou dans l'exploration de soi. J'avoue être un «radical», et je n'ai jamais pensé que le peut-être ou le je ne sais pas pouvait réconcilier le oui et le non qui rivalisent. Sans ce radicalisme, je n'aurais pas eu le privilège de trouver le soi, assez jeune, qui lui-même m'a emmené jusqu'au supramental, et il ne faut donc pas s'étonner de l'audace qui est la mienne dans «cosmophilosophie», où je révèle, si l'on veut, la politique divine dans la matière. En fait, je n'ai pas grand-chose à perdre, je vis une expérience quasiment sans précédent, et au lieu de m'avancer sur la suite ou sur les merveilles du supramental, je me contente de témoigner que j'ai compris en profondeur la psyché humaine, aussi bien dans ses mécanismes que dans son jeu d'ouverture possible à l'inconnu et l'infini. Je n'ai pas fait tout ce chemin pour qu'il n'en reste rien pour les autres, mais il peut arriver à ce texte ce qui s'est déjà produit pour une œuvre que mon âme a rédigée, il y a très longtemps, et qui n'est réapparu à la surface que deux siècles plus tard. Dans la mesure où je peux dire, sans fanfaronner j'espère, que le Divin est en partie à l'origine de cette vision dialectique des instances du moi, il doit exister pour ceux que le Divin concerne, et qui à travers lui, comprendront mieux son plan dans la nature. Il ne s'agit donc pas d'une œuvre seulement pédagogique, mais d'une sorte d'étude morphologique du développement de la conscience humaine, qui articule le potentiel sur l'actuel — nous disposons de facultés innées qui peuvent s'élancer plus loin, dans l'aléatoire de la quête du «feu» intérieur —, et l'actuel sur le potentiel: ce que nous mettons à jour par la démarche purement intérieure permet un jour de transformer très concrètement ce qui fait l'essentiel de notre existence, soit le but de notre vie, et les moyens pour y parvenir, en modifiant nos réactions, nos pensées, notre emploi du temps, nos loisirs, notre vision du monde. Cosmophilosophie renvoie finalement à tout ce que j'ai écrit avant, et permet d'inscrire mes discours précédents dans une démarche réflexive profonde, qui utilise l'horoscope comme une carte routière.
Platon déjà, évoquait un attelage à maîtriser, et plus nous pénétrons le monde de la connaissance, plus les articulations secrètes entre les «moi» apparaissent. Se surprendre à être soi-même plusieurs, c'est la première clé de l'ouverture au Divin, après quoi le travail commence, pour trouver les acteurs intérieurs qui chacun poursuivent leurs propres objets de prédilection. Je décris donc des acteurs qui correspondent aux corps du système solaire, et j'interroge sur la manière dont ils jouent leur rôle, compte tenu du fait que leurs relations peuvent être ou devenir conflictuelles, ce qui est l'objet de l'astrologie.
Le retour sur soi est donc la condition sine qua non de l'évolution, jusqu'à ce que les pensées révèlent leur origine et leur fin, et jusqu'à quel point elles nous représentent ou traduisent seulement les besoins de la nature en nous.
Oui, j'ai renoncé aux paroles fleuries qui font miroiter de la lumière et de l'amour, qui appâtent l'idéal toujours en quête d'une nouvelle mystification moelleuse où poser ses bagages pour se délecter du spirituellement correct. Comme Satprem qui n'a jamais voulu entendre parler de moi depuis 78, bien qu'il se soit fendu d'un petit koan de quatre lignes quand j'étais à Auroville, je suis sur le front, j'essuie les plâtres, sans en faire toute une histoire, je devais être «prêt» pour le supramental, et je fais confiance à l'ordre cosmique pour ce décret, puisque je n'avais jamais pensé, vu la hauteur du Principe qui a soulevé Sri Aurobindo, que la chose me concernerait aussi vite. Mon expérience, dont des bribes seront sans doute disponibles sur le web bientôt, m'incline à présenter le «spirituel» d'une certaine manière, et je ne sache pas que je puisse tricher avec cette vision, aussi cela fait-il partie de son cadre qu'elle ne convienne qu'aux véritables chercheurs d'Agni, ceux qui ne se laissent pas gagner par les émollients discours de certains maîtres qui «noient le poisson», en laissant croire que tout est joué d'avance, que le désir d'éveil est stupide, ou que le Divin est imaginaire. Ces derniers spécialistes pourront ronronner dans le soi certifié conforme et chasser d'un revers de la main les hypothèses de Sri Aurobindo, cela n'empêchera pas la shakti divine de continuer à se manifester chez ceux qui ne veulent s'arrêter nulle part, et qui refusent leur propre réalisation à moins qu'elle ne serve toute l'humanité.
Comme le supramental est justement une énergie, et d'une puissance incomparable, il peut ce que le Soi ne peut pas, et entame un travail que des énergies secondaires, dépendant du Surmental, comme celle du Christ ou des maîtres ascensionnés, ne peuvent pas mener aussi profondément. Pourtant, il est inutile de hiérarchiser les énergies célestes qui veulent transformer la Terre car elles collaborent, et si le supramental est au-dessus de toutes les autres, il n'en est que plus difficile à réaliser et à manifester, et il me paraît douteux qu'il cherche à travers ses propres instruments à inférioriser d'autres énergies de lumière, qui ont aussi un rôle fondamental à jouer dans l'amélioration de la conscience humaine. Il ne faut donc pas compter sur moi pour que je fasse du supramental la seule voie, ou que je méprise des projets qui semblent entrer dans une certaine actualisation de l'Apocalypse. Bien qu'il faille faire attention à ce que certains «dieux» attendent de nous, notre époque voit différents plans divins se mélanger, mais le Supramental, c'est néanmoins une nouvelle Révélation, ce que près de huit millions d'êtres humains ont déjà compris, sans pour autant tous savoir se donner au Divin, ce qui faciliterait l'entrée en contact avec Lui. Mon expérience est aujourd'hui profonde et me permet de caractériser la voie spirituelle la plus radicale et de la différencier d'autres chemins assez passe-partout, qui n'amènent que des prises de conscience de surface, et qui sont suivis par ceux qui s'avancent moins loin, et qui tiennent à faire passer leur voie somme toute convenue pour de la spiritualité authentique. Pour beaucoup, la voie spirituelle est une forme d'érotisme subtil, qui leur permet de flirter avec la vastitude et le secret des choses, et cette attitude prétendument supérieure est répandue partout, chez les pandits et les brahmanes de l'Inde, au mépris certifié conforme pour les intouchables et les shudra, chez les Européens qui décorent leur existence bourgeoise avec leur méditation du dimanche, histoire de ne pas mourir idiot et de se débarrasser du stress en tutoyant maître Dogen, en Amérique du Nord, où le Nouvel Âge mélange adroitement cosmicité orientale, protestantisme, avec l'idée que Dieu soutient lui-même la prospérité, et science-fiction. Finalement, je me demande qui est engagé, comme j'ai pu l'être moi-même, dans une voie véritable, sans concessions, et c'est dans l'hypothèse que d'autres partagent le chemin évolutif absolu, que je leur fournis mes impressions. Entre les narcissiques qui veulent mettre le Divin dans leur poche, comme c'est la mode à Auroville, et ceux qui ne s'autorisent pas à vraiment lâcher prise car le résultat reste improbable, y-a-t'il de la place pour ceux qui ne veulent pas se raconter d'histoires? Comme c'est pour eux que je parle et non pas pour les lettrés propres sur eux ni pour les experts enfermés dans leurs propres prisons doctrinales, il est assez naturel que les éditeurs refusent systématiquement de me publier, tout en m'encensant.
Le web, la dernière invention magistrale de l'homo sapiens, me permet d'ajouter mon grain de sel, et de toucher d'autres membres de ma tribu universelle. Mes paroles peuvent parvenir là où elles seront utiles, aussi bien qu'un livre, parfois plus facilement. C'est amusant d'aller dans les statistiques de mon premier site: de petits points indiquent où les internautes me consultent dans le monde entier, et je trouve cela irrésistible de l'apprendre aussi facilement sur une mappemonde, on me lit en Afrique et un peu en Amérique du Nord, quand même, on tire beaucoup mon tarot sans trop s'intéresser aux écrits, on reste 7 minutes et quelques en moyenne... Autant d'informations qui me touchent, et oui, je m'amuse et je réponds au courrier, avec parfois des surprises irrésistibles sur ce que l'on me demande, à me tordre de rire. J'accepte. J'ai ainsi répondu (à une question laconique qui allait droit au but) qu'il valait mieux pratiquer la méditation quantique si on craignait le renversement des pôles, car j'attribue à cette démarche le pouvoir d'empêcher de «flipper», même pendant quarante jours d'obscurité.
D'anciens partenaires m'ont persuadé de faire un site «astro», parce qu'ils se souvenaient de mes «séminaires» d'il y a quinze ans, et j'en profite pour brosser une voie spirituelle évolutive, c'est-à-dire qui tient compte de la matière, de la vie, de la Terre. Elle est aussi exigeante, voire plus, que la voie traditionnelle classique qui vise le Soi, puisque le corps doit parvenir à une grande transparence susceptible de le brancher sur une fréquence nouvelle, ce qui exige sensibilité, ouverture, vulnérabilité, un mental pacifié et un vital modéré. Je définis ce qu'est une véritable voie évolutive, plutôt que séduire et allécher, et tant pis si je me mets à dos le correctement spirituel de la France entière, qui dans ce domaine, comme dans celui de la médecine, est tout sauf un exemple. Certains s'arrêtent s'ils souffrent: ils voulaient donc seulement s'approprier un coin de ciel bleu. Ou bien, l'on vous reproche de sortir du cadre de la tradition. Sri Aurobindo n'aurait pas fait ses «preuves», on le traite de prophète pour remettre aux calendes grecques la rédemption de la vie, et on se confine dans l'obsession du Soi, tout enivré de mots mousseux, absolu, réalisation, illumination, des étiquettes qui bradent la panacée, et on préfère investir dans du Bouddha importé du Tibet. Là, on fait du travail concret, à condition que ça reste dans le cadre convenu. Ou encore, et là je n'ai rien à redire, juste à préciser, on suit l'itinéraire d'une «Grande âme» pour se gaver de ses dharshan. No problem, my dear, (je conseille moi-même le darshan d'Amma pour ceux qui peinent à aimer le Divin), mais si vous vous imaginez que le darshan est autre chose qu'un adjuvant, vous vous trompez lourdement... Et justement, Natarajan votre serviteur fait faire le boulot complémentaire: si vous voulez bénéficier de la capture d'énergies spirituelles, je vous y encourage de tout mon cœur, mais votre personnalité doit être «clean», sinon les meilleurs darshan vous boostent quelques heures, et ça retombe, alors revenons-en à l'origine, le couple purusha-prakriti (et que les bons élèves me pardonnent de me répéter, mais finalement il n'y a que ça.)
Vous pouvez glaner tout ce que vous voulez avec les bénédictions, les rituels védiques, les darshan supérieurs, les fréquences angéliques et tutti quanti, non je n'ai pas de mépris pour cela, j'abrège la question; je tiens à remettre les choses à leur place avec l'autorité autoproclamée qui est la mienne, et qui n'a pas d'autre valeur que celle que je lui attribue. Le darshan, c'est de l'ordre de l'énergie, et la répercussion sur le «témoin», le purusha, le moi, n'est pas si puissante... À moins d'un engagement exhaustif vers le dedans, que, justement, mes écrits vous permettent de mener, d'une manière particulière, la vôtre. Voilà pourquoi j'articule tout autour du moi et du non-moi: le darshan ne sera jamais que du non-moi supérieur, une belle fréquence porteuse de résolutions et d'aspirations, mais après, il faudra en faire quelque chose, et là, c'est le moi, le sujet, bref, vous-mêmes, qui devez mener l'exploration. Or, c'est bizarre, mais peu d'adeptes «descendent» dans les abîmes du moi, que ce soit à Auroville ou dans les ashrams... On mise sur la vibration de Mère, ou sur celle du gourou. Mais c'est faux, ou largement insuffisant. Les grandes âmes ne tiennent pas à tenir en laisse des dévots, des disciples, rassurés par la protection qu'ils obtiennent d'un monde supérieur auquel ils prétendent aspirer. La comédie est finie, ça n'a pas marché. J'en ai fait le constat amer pendant sept ans, complice de l'esprit de Lao-Tseu, j'ai fait le bilan de deux mille cinq cents ans d'histoire, et c'est maigre. Il faut descendre, un point c'est tout. Comme dans Savitri. Et ce n'est pas pour répéter Sri Aurobindo que je le dis, je l'ai vu aussi, par moi-même, seul le supramental peut réellement transformer la Terre et l'incarnation. Sinon, les avatars auraient réussi. Ce n'est pas le cas. Le supramental, c'est la dernière carte à jouer.
Que ce soit méditation quantique, qui s'adapte à chacun, ou l'investigation du thème natal avec cosmophilosophie, je fais du sur-mesure, j'ai abandonné le prêt à porter, et mes écrits sont seulement des oeuvres d'art. La «doctrine», c'est Sri Aurobindo qui l'a établie. Moi, j'ajoute une petite pierre, parce que le supramental m'a capturé, et qu'il utilise mes capacités, et c'est amusant de «témoigner» que l'univers poursuit une idée fixe le long des dizaines de millénaires qui sont à sa disposition: rendre la matière consciente. (Je suis un des premiers à vivre cette intention du Suprême, mon corps est «baratté» depuis trente ans, et cela donne un sens à ma vie, ce qui me fait supporter la difficulté de la chose.)
Rendre la matière consciente... Ce n'est pas encore gagné, je vous l'accorde, mais chacun est titillé par le «sens de la vie», ce qui veut bien dire que la conscience déborde de nous-mêmes, et outrepasse les droits subjectifs qu'on lui accorde. C'est toute notre histoire, d'ailleurs, la «culpabilité», ce n'est pas quelque chose qu'on courtise que je sache, merci Saturne, sans elle ce serait encore pire. Le souhait, parfois, se forme de lui-même, et ce n'est pas encore devenu un petit calcul mesquin qui vise sa cible, merci soleil, merci Vénus. Le flash, ce n'est pas du raisonnement, mais ça marche, merci Uranus. Oui, l'intelligence suprême déborde de notre petite personne, parce qu'on sera toujours trop niais pour l'enfermer dans notre ego, notre vision du monde, notre avenir. Alors peut-être qu'elle attend patiemment que ces termes de «mon», de «moi je» commencent à vouloir dire autre chose, ou même rien, pour transformer les pouvoirs psychologiques en amont de la nature. En tout cas, c'est ce que j'ai vu de mes propres yeux, comme Rudhyar, comme Alex, comme d'autres, avec d'autres moyens, qui ont plongé dans le diagramme absolu, dans le prisme synthétique, dans le mystère fractal de l'astrologie, avec l'amour de la connaissance, qui soutient le mouvement mental, qui lui, ne fait qu'organiser les informations.
Je fais mon propre chemin. Parfois je me sens flatté par l'insulte d'un sot, et sali par le compliment d'un pédant, et je me réjouis que mes œuvres restent inaccessibles à ceux qui font semblant. (L'ironie du sort veut que ma propre mère n'ait jamais bénéficié de la moindre sincérité, et qu'elle fît semblant du matin au soir, avec un art consommé.) Il n'y a qu'en traversant les paroles des maîtres et des avatars qu'on comprend ce qu'elles veulent dire, et la traversée n'est pas obligatoire, mais pourquoi pas vous, dans le fond.
Je dis le prix des choses suprêmes, et il est élevé. Cela appelle les contrefacteurs. Il y a ainsi de nombreux faussaires, déjà, du supramental. Alors, vraiment, ce monde qui me fait pitié est aussi irrésistiblement comique dans «l'homme» ou «la femme», petites créatures fragiles qui passent leur temps pour la plupart à boursoufler les propriétés que l'univers leur a fournies.
L'humanité ne semble pas pressée de rejoindre le Divin... Alors, c'est pour cela que je pousse un peu à la roue, il est vrai... Devant l'urgence écologique.
PS: Passons aux choses sérieuses,
ce site n'a pas d'autre fin que celle que vous lui attribuerez, bienvenue à tous !
Natarajan Shanghaï, Décembre 2007
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